Une passion, un combat, une marque.
À l’origine d’Enyo Fightwear, il y a Myriam : une femme de terrain, entrepreneur dans l’âme, championne de France et vice-championne du monde de MMA. En créant cette marque, elle ne s’est pas contentée d’imaginer des vêtements : elle a voulu transmettre ce que le sport de haut niveau lui a appris.
Myriam Benadda, vice-championne du monde de MMA
Derrière Enyo, il y a une combattante. Myriam découvre le MMA en parallèle de ses études, et très vite, la passion devient un mode de vie. Elle s'entraîne dur, enchaîne les compétitions et gravit les échelons jusqu’à décrocher le titre de championne de France.
Combat après combat, elle s’impose dans un univers encore très masculin. Le MMA n’est pas seulement un sport pour elle : c’est une manière de s’exprimer, de se dépasser, de se construire.
Le grand saut dans l’entrepreneuriat
Diplômée d’un bac +5 en finance de marché, Myriam avait un avenir tout tracé dans la finance : CDI, sécurité, bon salaire. Mais au fond, quelque chose sonnait faux.
Elle refuse ce destin tout écrit et décide de tout quitter pour vivre pleinement ses deux passions : le sport de haut niveau et l’entrepreneuriat.
C’est là qu’est née Enyo : l’envie de créer une marque de vêtements de sport féminins, puissants, engagés et à son image. Un projet audacieux, 100 % aligné avec ses valeurs.
« J’ai créé Enyo parce que j’en avais assez de m’entraîner dans des vêtements qui ne me ressemblaient pas. Je voulais du textile fait pour nous, les femmes, à la fois performant et stylé. Enyo, c’est bien plus qu’une marque : c’est une façon de prouver que les femmes ont toutes une combattante en elles. »
Vivez l'aventure de l'intérieur
Derrière Enyo, il n’y a pas qu’un logo ou une idée. Il y a une présence quotidienne.
Sur Instagram, Myriam partage les coulisses de la marque, les galères, les réussites, les doutes, les combats – au sens propre comme au figuré. Elle montre ce que c’est, concrètement, de bâtir une marque de vêtements.
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